Samedi 2 septembre, les policiers du commissariat d’Epinal sont appelés par un voisin inquiet. Il a entendu les cris d’une femme à côté de chez lui, à Champbeauvert.
Les policiers du commissariat d’Epinal interviennent samedi 2 septembre vers 7h40 à Champbeauvert pour des violences conjugales. C’est le voisin qui a prévenu les policiers. Il a entendu une femme crier. Une fois sur place, les policiers découvrent un couple. La femme est en pleurs, le visage tuméfié, et plusieurs ecchymoses sur le corps.
L’homme est interpellé par les policiers spinaliens et placé en garde à vue. Entendu, il explique aux policiers qu’il est à bout. Il dit qu’il est difficile de s’occuper de deux enfants autistes et qu’il n’a plus de sentiment pour sa femme. Il reconnaît avoir frappé sa femme.
Le victime ne souhaite pas porter plainte. L’homme devra répondre de ses actes le 17 janvier 2024.
Samedi 2 septembre, les policiers du commissariat d'Epinal sont appelés par un voisin inquiet. Il a entendu les cris d'une femme à côté de chez lui, à Champbeauvert.
Les policiers du commissariat d'Epinal interviennent samedi 2 septembre vers 7h40 à Champbeauvert pour des violences conjugales. C'est le voisin qui a prévenu les policiers. Il a entendu une femme crier. Une fois sur place, les policiers découvrent un couple. La femme est en pleurs, le visage tuméfié, et plusieurs ecchymoses sur le corps.
L'homme est interpellé par les policiers spinaliens et placé en garde à vue. Entendu, il explique aux policiers qu'il est à bout. Il dit qu'il est difficile de s'occuper de deux enfants autistes et qu'il n'a plus de sentiment pour sa femme. Il reconnaît avoir frappé sa femme.
Le victime ne souhaite pas porter plainte. L'homme devra répondre de ses actes le 17 janvier 2024.
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Samedi 2 septembre, les policiers du commissariat d’Epinal sont appelés par un voisin inquiet. Il a entendu les cris d’une femme à côté de chez lui, à Champbeauvert. 
Futur feminicide