Les 4 collégiens de Golbey accusés de harcèlement envers le jeune Lucas ont comparu ce lundi devant le juge du tribunal pour enfant d’Epinal. Ils ont évoqué devant les juges uniquement quelques moqueries, mais rien de plus. Le jugement a été mis en délibéré en juin.
Lucas, 13 ans, scolarisé au collège Louis Armand de Golbey s’est suicidé le 7 janvier dernier. Selon la famille, Lucas était victime de harcèlement scolaire à caractère homophobe. Ce lundi, les 4 collégiens de Golbey accusés de harcèlement envers le jeune Lucas ont comparu devant le juge du tribunal pour enfant d’Epinal. Ils reconnaissent quelques moqueries mais rien de plus.
Le parquet a revu la qualification des faits. Le jugement a été mis en délibéré en juin.
Les 4 collégiens de Golbey accusés de harcèlement envers le jeune Lucas ont comparu ce lundi devant le juge du tribunal pour enfant d'Epinal. Ils ont évoqué devant les juges uniquement quelques moqueries, mais rien de plus. Le jugement a été mis en délibéré en juin.
Lucas, 13 ans, scolarisé au collège Louis Armand de Golbey s’est suicidé le 7 janvier dernier. Selon la famille, Lucas était victime de harcèlement scolaire à caractère homophobe. Ce lundi, les 4 collégiens de Golbey accusés de harcèlement envers le jeune Lucas ont comparu devant le juge du tribunal pour enfant d'Epinal. Ils reconnaissent quelques moqueries mais rien de plus.
Le parquet a revu la qualification des faits. Le jugement a été mis en délibéré en juin.
2 réactions sur “Suicide de Lucas : les 4 collégiens de Golbey entendus par la justice”
choukov
« Le parquet a revu la qualification des faits ».
Serait-il possible d’être un peu plus précis dans la nouvelle qualification et, en conséquence dans la brèche ouverte, les plaidoiries des avocats ?
« Le parquet a revu la qualification des faits ».
Serait-il possible d’être un peu plus précis dans la nouvelle qualification et, en conséquence dans la brèche ouverte, les plaidoiries des avocats ?
En vous en remerciant.
On ne se suicide pas pour quelques moqueries messieurs les jurés.
Le harcelement est bien là et la brèche est largement ouverte.
Le combat continue