Ces dernières années, les périodes de sécheresses ont été préoccupantes, tant par leur précocité, leur intensité, ou leur durée.
Par ses impacts sur la forêt, le réchauffement climatique dégrade progressivement les peuplements forestiers, et soulève même des questions quant à la pérennité à plus ou moins long termes de certaines essences, dont notamment le hêtre.Dans ces conditions, toute la filière se mobilise pour observer, étudier et tenter d’accompagner collectivement cette transition.
Lancé courant 2022, le projet « VALHER », anagramme de « Valorisation des produits issus de l’exploitation des hêtres dépérissant » propose d’évaluer comparativement la qualification de la transformation de hêtres sains et dépérissant, et d’établir des préconisations quant à la transformation et à la conservation de ces bois.L’objectif est d’assurer une étude complète du sujet, regroupant forestiers et transformateurs de Bourgogne Franche-Comté et du Grand Est.
Les résultats de l’étude contribueront à faire avancer les connaissances, et constitueront une ressource documentaire et technique pour toute la filière hêtre.
Depuis 2018, les sécheresses à répétitions ont engendré des dépérissements importants. Avec le changement climatique, ces phénomènes vont sans doute se répéter et s’accentuer.
Le hêtre est une essence majeure en Bourgogne-Franche-Comté et Grand Est (13 % du volume sur pied, plus de 70 % de la production de sciages nationale).
Les transformateurs ont alerté les interprofessions à propos de la dégradation des produits issus de hêtre dépérissant. De nombreuses questions sont soulevées sur la valorisation de ces bois : perte de rendement, baisse de la qualité d’aspects, doutes sur la résistance mécanique, hétérogénéité de la couleur avec ou sans étuvage, comportement au séchage, tenue au collage et finition, etc
Ces dernières années, les périodes de sécheresses ont été préoccupantes, tant par leur précocité, leur intensité, ou leur durée.
Par ses impacts sur la forêt, le réchauffement climatique dégrade progressivement les peuplements forestiers, et soulève même des questions quant à la pérennité à plus ou moins long termes de certaines essences, dont notamment le hêtre.Dans ces conditions, toute la filière se mobilise pour observer, étudier et tenter d’accompagner collectivement cette transition.
Lancé courant 2022, le projet « VALHER », anagramme de « Valorisation des produits issus de l’exploitation des hêtres dépérissant » propose d’évaluer comparativement la qualification de la transformation de hêtres sains et dépérissant, et d’établir des préconisations quant à la transformation et à la conservation de ces bois.L’objectif est d’assurer une étude complète du sujet, regroupant forestiers et transformateurs de Bourgogne Franche-Comté et du Grand Est.
Les résultats de l’étude contribueront à faire avancer les connaissances, et constitueront une ressource documentaire et technique pour toute la filière hêtre.
Depuis 2018, les sécheresses à répétitions ont engendré des dépérissements importants. Avec le changement climatique, ces phénomènes vont sans doute se répéter et s’accentuer.
Le hêtre est une essence majeure en Bourgogne-Franche-Comté et Grand Est (13 % du volume sur pied, plus de 70 % de la production de sciages nationale).
Les transformateurs ont alerté les interprofessions à propos de la dégradation des produits issus de hêtre dépérissant. De nombreuses questions sont soulevées sur la valorisation de ces bois : perte de rendement, baisse de la qualité d’aspects, doutes sur la résistance mécanique, hétérogénéité de la couleur avec ou sans étuvage, comportement au séchage, tenue au collage et finition, etc
Une réaction sur “Filière Forêt-Bois et changement climatique: Comment le secteur du hêtre s’adapte ?”
libre pensée
La forêt vosgienne, vue sur place et non d’un lointain bureau d’Epinal, devient une porcherie où la masse des déchets verts pseudo-compostables (en 10/12 ans pour les restes résineux) qui s’accumule le long des chemins entre autres, tue les sols et favorise la prolifération des insectes ravageurs et l’été les incendies incontrôlables.
Merci qui ?
La forêt vosgienne, vue sur place et non d’un lointain bureau d’Epinal, devient une porcherie où la masse des déchets verts pseudo-compostables (en 10/12 ans pour les restes résineux) qui s’accumule le long des chemins entre autres, tue les sols et favorise la prolifération des insectes ravageurs et l’été les incendies incontrôlables.
Merci qui ?