Des animations gratuites à foison à la Souris Verte devant un large public ce samedi 11 après-midi. Passée la porte d’entrée, oubliés les soucis et les problèmes de retraite, place à la 3e édition du festival des cultures urbaines, à la musique, à la danse, à la détente, aux rencontres autour du bar
La culture urbaine prône des valeurs positives de créativité, de respect et de mixité, la Souris Verte accompagnée de tous ses partenaires a permis ce partage durant plusieurs jours et tout particulièrement ce samedi 11 février après-midi : démonstration de skate, de Street Art avec Jordan Pattenotte et Le 46, jeux vidéo sous la houlette de SlimHardial, membre de l’association R.A G.E, initiation au scratch par le DJ hot Choz, battle de danse hip-hop, point d’orgue de cette dernière journée d’art urbain. Ce déluge d’activités a fait le plein d’adolescents, de jeunes adultes, de familles, de nostalgiques des jeux d’arcade et de tous les mordus du Hip-hop venus s’essayer à la compétition.
Un partenariat avec la ville d’Épinal
« Si, cette année, nous avons réussi à organiser quatre jours de festival, soit deux jours de plus que la dernière édition, c’est grâce au partenariat avec la ville d’Épinal qui nous a apporté un soutien technique et financier » indique Emmanuel Paysant, pilote principal de la Souris Verte, équipement de l’Agglomération.
Street Harmony, organisatrice des Battles
« C’est aussi grâce à l’association culturelle Street Harmony, qui fait partie de nos partenaires principaux et qui a, entre autres contenus, organisé le battle de Hip-hop. »
Camille, bénévole de ce collectif nancéen, stipule « il ne s’agit pas seulement de performer, faut-il encore transmettre sa personnalité, exprimer qui on est à travers la danse, provoquer des émotions ».
Au départ, 16 équipes composées de quatre danseurs (4VS4) et 23 danseurs en individuel (1VS1 All dance) s’affrontent à tour de rôle et sont départagés par un jury de trois experts dans ce domaine : Clara Bajado qui vit à Londres, Pépito à Lilles, et Joseph Go, à Paris. Seulement 8 sont retenus dans chaque catégorie et dansent ensuite par deux côte à côte. Demi-finale puis finale consacrent un gagnant dans chaque catégorie avec un prix intéressant à la clé.
Le tenant du titre, Dy, a gagné la catégorie All dance pour la deuxième fois et l’équipe parisienne FEMH le 4VS4 Hip-hop. Félicitations à eux !
Des animations gratuites à foison à la Souris Verte devant un large public ce samedi 11 après-midi. Passée la porte d’entrée, oubliés les soucis et les problèmes de retraite, place à la 3e édition du festival des cultures urbaines, à la musique, à la danse, à la détente, aux rencontres autour du bar
La culture urbaine prône des valeurs positives de créativité, de respect et de mixité, la Souris Verte accompagnée de tous ses partenaires a permis ce partage durant plusieurs jours et tout particulièrement ce samedi 11 février après-midi : démonstration de skate, de Street Art avec Jordan Pattenotte et Le 46, jeux vidéo sous la houlette de SlimHardial, membre de l’association R.A G.E, initiation au scratch par le DJ hot Choz, battle de danse hip-hop, point d’orgue de cette dernière journée d’art urbain. Ce déluge d’activités a fait le plein d’adolescents, de jeunes adultes, de familles, de nostalgiques des jeux d’arcade et de tous les mordus du Hip-hop venus s’essayer à la compétition.
Un partenariat avec la ville d'Épinal
« Si, cette année, nous avons réussi à organiser quatre jours de festival, soit deux jours de plus que la dernière édition, c’est grâce au partenariat avec la ville d’Épinal qui nous a apporté un soutien technique et financier » indique Emmanuel Paysant, pilote principal de la Souris Verte, équipement de l’Agglomération.
Street Harmony, organisatrice des Battles
« C’est aussi grâce à l’association culturelle Street Harmony, qui fait partie de nos partenaires principaux et qui a, entre autres contenus, organisé le battle de Hip-hop. »
Camille, bénévole de ce collectif nancéen, stipule « il ne s’agit pas seulement de performer, faut-il encore transmettre sa personnalité, exprimer qui on est à travers la danse, provoquer des émotions ».
Au départ, 16 équipes composées de quatre danseurs (4VS4) et 23 danseurs en individuel (1VS1 All dance) s’affrontent à tour de rôle et sont départagés par un jury de trois experts dans ce domaine : Clara Bajado qui vit à Londres, Pépito à Lilles, et Joseph Go, à Paris. Seulement 8 sont retenus dans chaque catégorie et dansent ensuite par deux côte à côte. Demi-finale puis finale consacrent un gagnant dans chaque catégorie avec un prix intéressant à la clé.
Le tenant du titre, Dy, a gagné la catégorie All dance pour la deuxième fois et l’équipe parisienne FEMH le 4VS4 Hip-hop. Félicitations à eux !
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