Lucas, 13 ans, élève de 4e au collège Louis-Armand de Golbey, a mis fin à ses jours le 7 janvier dernier. Ce vendredi 27 janvier, le procureur de la République, Frédéric Nahon, a annoncé que quatre de ses camarades, deux filles et deux garçons, seront prochainement jugés pour harcèlement.
Ce vendredi 27 janvier, le procureur de la République des Vosges, Frédéric Nahon, a annoncé que quatre collégiens seraient jugé « pour harcèlement scolaire ayant entraîné le suicide » de Lucas, 13 ans. Le jeune garçon, âgé de 13 ans et élève de 4e au collège Louis-Armand de Golbey, dans les Vosges a mis fin à ses jours le 7 janvier dernier. Ses parents avaient immédiatement dénoncé les harcèlement que subissait l’adolescent. Pour la famille cela ne faisait aucun doute, Lucas était victime de moqueries et d’insultes insultes à caractère homophobes et c’est cela qui a conduit l’adolescent à se suicider. Une enquête a été ouverte le 13 janvier dernier. Quatre adolescents ont été entendus et ils seront jugés les prochaines semaines, devant un juge pour enfants.
« Lors de leurs auditions, les mis en cause, deux filles et deux garçons âgés de 13 ans, scolarisés dans le même établissement que Lucas, ont uniquement admis avoir proféré à plusieurs reprises des moqueries à l’encontre de leur camarade », a expliqué Frédéric Nahon.
A l’issue de leur garde à vue, les quatre mineurs ont été convoqués devant le tribunal pour enfants d’Epinal pour y être jugés « pour harcèlement scolaire ayant entraîné le suicide de la victime, l’enquête ayant établi que le harcèlement avait pu participé au passage à l’acte suicidaire du jeune Lucas. » commente le Procureur de la République.
Présumés innocents, inconnus de la justice, les quatre mineurs feront l’objet d’une évaluation par la protection judiciaire de la jeunesse avant leur jugement.
« Une enquête incidente a été ouverte contre X pour non dénonciation de mauvais traitements sur mineurs, les investigations se poursuivent donc sur ce point. » conclut le Procureur.
[caption id="attachment_213696" align="aligncenter" width="800"] photo google maps[/caption]
Lucas, 13 ans, élève de 4e au collège Louis-Armand de Golbey, a mis fin à ses jours le 7 janvier dernier. Ce vendredi 27 janvier, le procureur de la République, Frédéric Nahon, a annoncé que quatre de ses camarades, deux filles et deux garçons, seront prochainement jugés pour harcèlement.
Ce vendredi 27 janvier, le procureur de la République des Vosges, Frédéric Nahon, a annoncé que quatre collégiens seraient jugé "pour harcèlement scolaire ayant entraîné le suicide" de Lucas, 13 ans. Le jeune garçon, âgé de 13 ans et élève de 4e au collège Louis-Armand de Golbey, dans les Vosges a mis fin à ses jours le 7 janvier dernier. Ses parents avaient immédiatement dénoncé les harcèlement que subissait l'adolescent. Pour la famille cela ne faisait aucun doute, Lucas était victime de moqueries et d'insultes insultes à caractère homophobes et c'est cela qui a conduit l'adolescent à se suicider. Une enquête a été ouverte le 13 janvier dernier. Quatre adolescents ont été entendus et ils seront jugés les prochaines semaines, devant un juge pour enfants.
"Lors de leurs auditions, les mis en cause, deux filles et deux garçons âgés de 13 ans, scolarisés dans le même établissement que Lucas, ont uniquement admis avoir proféré à plusieurs reprises des moqueries à l'encontre de leur camarade", a expliqué Frédéric Nahon.
A l’issue de leur garde à vue, les quatre mineurs ont été convoqués devant le tribunal pour enfants d’Epinal pour y être jugés "pour harcèlement scolaire ayant entraîné le suicide de la victime, l’enquête ayant établi que le harcèlement avait pu participé au passage à l’acte suicidaire du jeune Lucas." commente le Procureur de la République.
Présumés innocents, inconnus de la justice, les quatre mineurs feront l’objet d’une évaluation par la protection judiciaire de la jeunesse avant leur jugement.
"Une enquête incidente a été ouverte contre X pour non dénonciation de mauvais traitements sur mineurs, les investigations se poursuivent donc sur ce point." conclut le Procureur.
En France, dans ce cas particulier, il existe la « présomption de non discernement ».
Très compliqué à renverser, facile à simuler par les mis en cause sur conseil avisé de l’avocat.
Au pire, sellez les poneys ou faites le plein des mini motos.
Pas de pitié pour ces petits cons!
En France, dans ce cas particulier, il existe la « présomption de non discernement ».
Très compliqué à renverser, facile à simuler par les mis en cause sur conseil avisé de l’avocat.
Au pire, sellez les poneys ou faites le plein des mini motos.
La « justice » de France vous démontrera l’inverse.
Ils faut vraiment les punir vraiment bien ils méritent