Les abeilles aussi souffrent du changement climatique. Avec l’impact du changement climatique, les récoltes sont de plus en plus irrégulières et cela complique la vie des apiculteurs. Un apiculteur d’Epinal a rendu visite à ses ruches. Il assure que ses abeilles sont perturbés par la douceur du temps en ce mois de novembre.
Les ruches peuvent souffrir de différents impacts du changement climatique : incendies, sécheresse, grêle, inondations, chaleur tardive… La vie des abeilles se complique avec le réchauffement climatique car elles doivent modifier leurs habitudes.
Julien Vetter, apiculteur à Epinal a rendu visite à ses ruches installées dans la cité des Images. Il a constaté que la chaleur tardive perturbe fortement les abeilles. « Les abeilles subissent de plein fouet la douceur actuelle. » témoigne Julien Vetter.
« il est primordiale de donner les ressources nécessaires aux abeilles »
Cette chaleur en hausse fait également qu’il y a moins de pollinisateurs. Il y a de moins en moins de fleurs et de plantes et donc moins de fleurs à butiner pour les abeilles. Or, le nectar récolté dans les fleurs est primordiales pour que les abeilles puissent créer le miel. En effet, sans miel, elles ne peuvent plus nourrir leur colonie. « J’ai contrôlé mes colonies et certaines ont encore un beau couvain, comme si on était au printemps ce qui n’est pas normal en ce 2 novembre » poursuit l’apiculteur spinalien qui a du nourrir ses abeilles avec un sirop. « Elles n’arrivent plus à se nourrir en ce moment à cause du manque de fleurs et de plantes. » poursuit-il. Pour les apiculteurs, cette situation est également synonyme de plus d’effort, « il est primordiale de donner les ressources nécessaires aux abeilles ».
Un faux bourdon dans une ruche
Julien Vetter a aussi eu la surprise de croiser un faux bourdon qui est sorti d’une ruche alors que normalement on en trouve seulement d’avril à août. Un faux bourdon, est le mâle de l’abeille. Il est important de le distinguer du bourdon. « Les abeilles sont très perturbées par la douceur actuelle. » conclu Julien Vetter.
C.K.N.
Une catastrophe.
Et beaucoup d’inconscients trouvent le moyen de se réjouir de cette douceur.
+ Les fauches trop précoces, la monoculture, la ressource en eau qu’il faut laisser filer au plus vite et donc gaspiller, les herbicides toujours autorisés aux gros pollueurs, oublier que l’élevage du vivant n’est pas science exacte…. C’est pas gagné d’avance.
Arrêtez de vous moquer du monde avec le réchauffement climatique bidon, il y en a toujours eu et vous ne pourrez rien n’y faire ! Inventez des abeilles électriques, des mini- robots, c’est devenu une spécialité de notre super gouvernement !
Est t’il possible invariablement de faire des commentaires tous plus débiles les uns que les autres.
La réponse est oui…
Conclusion : dans votre phrase vous admettez dans un second temps qu’il y a un réchauffement climatique. Je n’ajouterai rien de plus car on connaît votre entêtement à ne voir que ce que vous voulez bien !