C’est le jour du départ pour le vosgien Julien Sassi. Il prend le départ d’un périple de plus de 1 000 Km à travers la France hyper rurale. Il sera seul et à pied pour ce projet qu’il a nommé « La trace du Loup ».
Ce dimanche matin à 11 heures, Julien Sassi avait donné rendez-vous à la presse et à Michel Fournier, président de l’association des maires ruraux de France (AMRF) avant l’heure du grand départ pour 6 à 7 semaines de marche. Ce projet est porté par le député Stéphane Viry, la Communauté d’Agglomération d’Epinal, Le Conseil départemental des Vosges, la Ville d’Epinal et l’IUT de Saint-Dié-des-Vosges qui réalisera des vidéos.
Le marcheur a pris quelques heures avant de prendre le train de 16h16 pour Carcassonne pour profiter de sa famille et de ses amis. Il sera accueilli demain matin sur place par le vice-président de l’AMRF Jean-Marc Marty avec lequel il peaufinera l’itinéraire. » Je ferai des étapes d’environ 20 Km/jour. Le parcours fera au moins 1 000 Km avant de revenir dans les Vosges. Ce n’est pas un trekking. Mon idée est de faire des petits reportages sur les fiertés locales qui rendent les habitants si fiers de leurs villages ».
Avec son sac à dos qui pèse quand même 13 KG, Julien Sassi deviendra un reporter de la ruralité. A son retour, en collaboration avec l’IUT de Saint-Dié-des-Vosges, il réalisera des reportages sur la nature qu’il va traverser, des interviews des maires ruraux et une vidéo avec des enfants rencontrés sur place qu’il présentera aux différentes écoles de la CAE.
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C'est le jour du départ pour le vosgien Julien Sassi. Il prend le départ d'un périple de plus de 1 000 Km à travers la France hyper rurale. Il sera seul et à pied pour ce projet qu'il a nommé "La trace du Loup".
Ce dimanche matin à 11 heures, Julien Sassi avait donné rendez-vous à la presse et à Michel Fournier, président de l'association des maires ruraux de France (AMRF) avant l'heure du grand départ pour 6 à 7 semaines de marche. Ce projet est porté par le député Stéphane Viry, la Communauté d’Agglomération d’Epinal, Le Conseil départemental des Vosges, la Ville d’Epinal et l’IUT de Saint-Dié-des-Vosges qui réalisera des vidéos.
Le marcheur a pris quelques heures avant de prendre le train de 16h16 pour Carcassonne pour profiter de sa famille et de ses amis. Il sera accueilli demain matin sur place par le vice-président de l'AMRF Jean-Marc Marty avec lequel il peaufinera l'itinéraire. " Je ferai des étapes d'environ 20 Km/jour. Le parcours fera au moins 1 000 Km avant de revenir dans les Vosges. Ce n'est pas un trekking. Mon idée est de faire des petits reportages sur les fiertés locales qui rendent les habitants si fiers de leurs villages".
Avec son sac à dos qui pèse quand même 13 KG, Julien Sassi deviendra un reporter de la ruralité. A son retour, en collaboration avec l'IUT de Saint-Dié-des-Vosges, il réalisera des reportages sur la nature qu'il va traverser, des interviews des maires ruraux et une vidéo avec des enfants rencontrés sur place qu'il présentera aux différentes écoles de la CAE.
Facebook : (1) Julien Le Vosgien | Aydoilles | Facebook
Ah bon … vous croyez !!!!
Encore faudrait-il que la ruralité puisse regarder les petits reportages. Déjà qu’elle ne peut plus regarder la télévision comme les autres français.
Car, désormais, il y a 2 catégories de français : ceux qui reçoivent les chaînes TNT gratuite (sans doute les urbains) et les autres qui sont pris en otage par un conflit TF1/CANAL+. Vous qui ne recevez la TNT que par parabole, tant pis pour vous…..
Ceux qui sont la proie de la vente forcée pour regarder un tant soit peu la TNT qui devait être gratuite, tant pour vous : faut pas habiter dans une zone de plouc
On est bien loin d’un temps où la ministre de la Culture, Brigitte Nyssen, avait forcé la mise à disposition gratuite du signal lors d’un précédent conflit.
C’était un autre temps : 2018.
Sans doute l’époque où nous avions encore des ministres qui prenaient en compte les aléas de la vie de ceux qui ne peuvent regarder la télévision avec « une aiguille à tricoter dans le grenier ». A l’opposé des godilllaux actuels.
Marcher pour une « ruralité » qui ne s’imagine pas vivre sans bagnole, c’est pour le moins audacieux.
Ah bon … vous croyez !!!!
Encore faudrait-il que la ruralité puisse regarder les petits reportages. Déjà qu’elle ne peut plus regarder la télévision comme les autres français.
Car, désormais, il y a 2 catégories de français : ceux qui reçoivent les chaînes TNT gratuite (sans doute les urbains) et les autres qui sont pris en otage par un conflit TF1/CANAL+. Vous qui ne recevez la TNT que par parabole, tant pis pour vous…..
Ceux qui sont la proie de la vente forcée pour regarder un tant soit peu la TNT qui devait être gratuite, tant pour vous : faut pas habiter dans une zone de plouc
On est bien loin d’un temps où la ministre de la Culture, Brigitte Nyssen, avait forcé la mise à disposition gratuite du signal lors d’un précédent conflit.
C’était un autre temps : 2018.
Sans doute l’époque où nous avions encore des ministres qui prenaient en compte les aléas de la vie de ceux qui ne peuvent regarder la télévision avec « une aiguille à tricoter dans le grenier ». A l’opposé des godilllaux actuels.
Chouette aventure.
Espérons qu’on pourra suivre ce projet sur les médias, ou à pied, ou en char à voile.
le Paris Sans Gène devrait méditer sur cette marche