Les Jardins des Cuvières étaient en fête mardi après-midi. Louise Marchal, doyenne de l’établissement et doyenne de Thaon-les-Vosges, célébrait ses 107 ans avec les résidents et en présence de sa petite fille, Sylvie Dolidon.
Cédric Haxaire, maire de la commune, a rappelé les instants importants d’une vie familiale riche et d’une vie professionnelle hors du commun. « Vous avez eu deux filles. La première est née en 1933, Louise, et Simone est née en 1939. Professionnellement, vous avez été responsable d’une usine textile en Centrafrique où vous avez tissé des liens très forts avec les employés. Vous êtes devenu l’un des piliers de notre établissement que vous avez rejoint en janvier 2011. Je me souviens de notre première rencontre, vous étiez une jeunette de 104 ans. Vous faisiez alors les crêpes, vous refaisiez votre lit, vous pliiez l’ensemble des serviettes de l’établissement. Et puis un jour, vous êtes venue à mon bureau et vous avez tapé du poing sur la table car l’aide à la douche avait pris quelques minutes de retard. Cette exigence envers les autres, vous l’avez toujours appliquée à vous-même et c’est peut-être un des secrets pour épouser une si belle longévité. Nous sommes fiers de votre présence parmi nous ».
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Les Jardins des Cuvières étaient en fête mardi après-midi. Louise Marchal, doyenne de l’établissement et doyenne de Thaon-les-Vosges, célébrait ses 107 ans avec les résidents et en présence de sa petite fille, Sylvie Dolidon.
Cédric Haxaire, maire de la commune, a rappelé les instants importants d’une vie familiale riche et d’une vie professionnelle hors du commun. « Vous avez eu deux filles. La première est née en 1933, Louise, et Simone est née en 1939. Professionnellement, vous avez été responsable d’une usine textile en Centrafrique où vous avez tissé des liens très forts avec les employés. Vous êtes devenu l’un des piliers de notre établissement que vous avez rejoint en janvier 2011. Je me souviens de notre première rencontre, vous étiez une jeunette de 104 ans. Vous faisiez alors les crêpes, vous refaisiez votre lit, vous pliiez l’ensemble des serviettes de l’établissement. Et puis un jour, vous êtes venue à mon bureau et vous avez tapé du poing sur la table car l’aide à la douche avait pris quelques minutes de retard. Cette exigence envers les autres, vous l’avez toujours appliquée à vous-même et c’est peut-être un des secrets pour épouser une si belle longévité. Nous sommes fiers de votre présence parmi nous ».
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