Dominique Cheveau, le directeur de l’hôpital d’Epinal
Le service des urgences de l’hôpital d’Epinal débordé. Les syndicats dénoncent de plusieurs dysfonctionnements : manque de personnel, perte de lits de médecine et course à la rentabilité. Dominique Cheveau, le directeur de l’hôpital d’Epinal a annoncé la création d’un service post-urgences.
Les syndicats du centre hospitalier Emile Durkheim d’Epinal ont déposé un préavis de grève jeudi 31 mars 2022 pour une durée indéterminé. Ils dénoncent le manque de personnel, la perte de lits de médecine et la course à la rentabilité. Un rassemblement avait lieu ce jeudi matin devant le centre hospitalier d’Epinal.Le directeur de l’hôpital d’Epinal, Dominique Cheveau a expliqué avoir conscience de ces dysfonctionnements. « Quand on a des patients qui restent 48h dans un service d’urgences, effectivement c’est un dysfonctionnement » confie-t-il.
« Nous avons trouvé dans un premier temps des mesures temporaires. La semaine dernière nous avons trouvé un lit pour chacun des patients. » poursuit Dominique Cheveau.
Le directeur de l’établissement souhaite la création d’un service post-urgences de 10 à 15 lits. Celui-ci doit être validé début mai. Il pourrait ensuite voir le jour dans quelques mois.
« Le projet d’établissement doit être validé début mai et devrait permettre de résoudre ces problèmes, notamment avec la création d’un service post-urgences de 10 à 15 lits. Cela devrait permettre d’améliorer le fonctionnement des urgences d’Epinal. » explique le directeur.
C.K.N.
[caption id="attachment_198743" align="aligncenter" width="800"] Dominique Cheveau, le directeur de l'hôpital d'Epinal[/caption]
Le service des urgences de l'hôpital d'Epinal débordé. Les syndicats dénoncent de plusieurs dysfonctionnements : manque de personnel, perte de lits de médecine et course à la rentabilité. Dominique Cheveau, le directeur de l'hôpital d'Epinal a annoncé la création d'un service post-urgences.
Les syndicats du centre hospitalier Emile Durkheim d’Epinal ont déposé un préavis de grève jeudi 31 mars 2022 pour une durée indéterminé. Ils dénoncent le manque de personnel, la perte de lits de médecine et la course à la rentabilité. Un rassemblement avait lieu ce jeudi matin devant le centre hospitalier d’Epinal.Le directeur de l'hôpital d'Epinal, Dominique Cheveau a expliqué avoir conscience de ces dysfonctionnements. "Quand on a des patients qui restent 48h dans un service d'urgences, effectivement c'est un dysfonctionnement" confie-t-il.
"Nous avons trouvé dans un premier temps des mesures temporaires. La semaine dernière nous avons trouvé un lit pour chacun des patients." poursuit Dominique Cheveau.
Le directeur de l'établissement souhaite la création d'un service post-urgences de 10 à 15 lits. Celui-ci doit être validé début mai. Il pourrait ensuite voir le jour dans quelques mois.
"Le projet d'établissement doit être validé début mai et devrait permettre de résoudre ces problèmes, notamment avec la création d'un service post-urgences de 10 à 15 lits. Cela devrait permettre d'améliorer le fonctionnement des urgences d'Epinal." explique le directeur.
C.K.N.
5 réactions sur “Urgences d’Epinal saturées : le directeur veut créer un service post-urgences”
Bruno E.
Un hôpital tout neuf qui fonctionne bien mal…
Les décisions des politiques et autres responsables font que le système médical est entrain d’agonlser…
Cela est loin d’être rassurant !
Il est surtout inhumain de laisser seule aux urgences des personnes âgées sans qu un proche puisse être à leurs côtés. On en est encore là en 2022! Et le covid n a rien à voir.
Un hôpital tout neuf qui fonctionne bien mal…
Les décisions des politiques et autres responsables font que le système médical est entrain d’agonlser…
Cela est loin d’être rassurant !
La T2A détruit des services, détruit des soignants, apporte des soins qui ne sont pas à la hauteur de la population.
Le comité médical d’établissement et les chef de service doivent s’impliquer dans le mouvement.
Votons Mélenchon, le seul espoir de l’hôpital public à ce jour où….nous mourerons
Il est surtout inhumain de laisser seule aux urgences des personnes âgées sans qu un proche puisse être à leurs côtés. On en est encore là en 2022! Et le covid n a rien à voir.
Les mêmes problèmes dans les hôpitaux du Grand-Est comme le Médian de Belfort, celui de Strasbourg et combien d’autres…
(Ok, Belfort c’est pas le Grand-Est mais c’est très voisin)