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mardi 30 mai 2023
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Vosgelis s’engage dans la lutte contre la précarité menstruelle Un partenariat avec « Bonne Semaine » a été signé

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Après avoir offert un accompagnement scolaire en ligne à ses locataires, Vosgelis s’attaque désormais au sujet de la précarité menstruelle. En attendant la mise en place de distributeurs de protections périodiques dans ses quartiers, Vosgelis signe un partenariat avec Aude Balland, créatrice des culottes menstruelles « Bonne Semaine », afin de faire bénéficier ses locataires de cette solution alternative et durable.

Sous la marque « Chez Vosgelis, on respecte les règles », un nouveau service s’inscrit donc dans la stratégie d’innovation sociale du bailleur. Des points d’approvisionnement de protections périodiques gratuites seront prochainement installés dans certains quartiers. Mais en parallèle et conformément à sa démarche environnementale, Vosgelis a également souhaité aider ses locataires, notamment les plus jeunes, à se procurer des produits plus responsables, et à chercher, et à trouve une entreprise vosgienne répondant à cet enjeu.

Pour Aude Balland, créatrice des culottes menstruelles Bonne Semaine, « saigner ne doit pas être un luxe ». Au-delà de sa mission éthique et de santé, ce projet textile permaculturel doit permettre d’aider les femmes disposant de ressources financières modestes à vivre leurs règles dans des conditions d’hygiène et de confort qui respectent leur dignité.

Les culottes « Bonne Semaine », qui durent 4 à 5 ans, sont vendues au prix public de 35 €, ce qui, pour le budget moyen de certaines locataires de Vosgelis, reste un coût élevé. Aussi, les partenaires  ont mis au point une formule qui leur permettra de se procurer les culottes à un tarif unique de 10 € pièce, le reste étant pris en charge par Vosgelis.

Les bons de commande seront accessibles depuis le site de la marque Jump de Vosgelis jump.vosgelis.fr marque créée en 2018 pour aider les jeunes locataires âgés de 18 à 30 ans à démarrer dans la vie.

[gallery type="rectangular" size="large" ids="195656,195655"] Après avoir offert un accompagnement scolaire en ligne à ses locataires, Vosgelis s’attaque désormais au sujet de la précarité menstruelle. En attendant la mise en place de distributeurs de protections périodiques dans ses quartiers, Vosgelis signe un partenariat avec Aude Balland, créatrice des culottes menstruelles « Bonne Semaine », afin de faire bénéficier ses locataires de cette solution alternative et durable. Sous la marque « Chez Vosgelis, on respecte les règles », un nouveau service s’inscrit donc dans la stratégie d’innovation sociale du bailleur. Des points d’approvisionnement de protections périodiques gratuites seront prochainement installés dans certains quartiers. Mais en parallèle et conformément à sa démarche environnementale, Vosgelis a également souhaité aider ses locataires, notamment les plus jeunes, à se procurer des produits plus responsables, et à chercher, et à trouve une entreprise vosgienne répondant à cet enjeu. Pour Aude Balland, créatrice des culottes menstruelles Bonne Semaine, « saigner ne doit pas être un luxe ». Au-delà de sa mission éthique et de santé, ce projet textile permaculturel doit permettre d’aider les femmes disposant de ressources financières modestes à vivre leurs règles dans des conditions d’hygiène et de confort qui respectent leur dignité. Les culottes « Bonne Semaine », qui durent 4 à 5 ans, sont vendues au prix public de 35 €, ce qui, pour le budget moyen de certaines locataires de Vosgelis, reste un coût élevé. Aussi, les partenaires  ont mis au point une formule qui leur permettra de se procurer les culottes à un tarif unique de 10 € pièce, le reste étant pris en charge par Vosgelis. Les bons de commande seront accessibles depuis le site de la marque Jump de Vosgelis jump.vosgelis.fr marque créée en 2018 pour aider les jeunes locataires âgés de 18 à 30 ans à démarrer dans la vie.



4 réactions sur “Vosgelis s’engage dans la lutte contre la précarité menstruelle

  1. John

    Il va falloir aussi arrêter la vaccination obligatoire ou contrainte du soi-disant vaccin contre le covid-19 ( pseudo vaccin i efficace), qui crait de forts effets secondaires sur les menstruations.
    Beaucoup de femmes jeunes et moins jeunes ont eu de gros problèmes sur ce sujet et en lien direct avec ce produit injecté dans leur corps. Et quand on pense que le paracétamol est interdit aux femmes enceintes et on balance un pseudo vaccin en expérimentation à ces futurs mamans.
    La honte et le peuple accepte celà.

    répondre
    1. Rions

      Ah , John , toujours la même chose . J’ai vu dans un de vos derniers commentaires que le virus était dangereux pour les transfusions sanguines , en particulier quand il s’agit d’un donneur vacciné ! de quoi avez-vous peur ? Que la puce injectée soit transmise au receveur par inadvertance et si celui-ci est lui-même vacciné vous imaginez celui-ci va avoir 2 puces !!!!!!!

      répondre

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