Nous vous en parlions, les négociations entre la Ville d’Epinal et l’imagerie, n’ont pas pu aboutir. Il y a une semaine, le maire Patrick Nardin a fait un premier bilan de l’avancée du dossier concernant le rachat des actifs de l’imagerie par la municipalité. Suite à ces dernières annonces, le groupe « Epinal Capitale » a souhaité réagir.
« Imagerie d’Epinal : le maire humilié
Nouvel épisode dans le feuilleton initié par la mairie d’Epinal il y aura bientôt 8 ans : la gérante de l’Imagerie n’a même pas daigné répondre à la proposition de rachat formulée par le maire.
C’est un véritable camouflet pour celui-ci incapable de négocier avec un repreneur mis en place par la Ville grâce à un apport de 450.000 euros du contribuable (Mme Lorimy affirme elle-même « qu’on est venue la chercher »), un repreneur conforté par l’apport de près de 1 million provenant de mécènes privés « parrainés » par l’ancien maire et qui n’ont jamais été remboursés, un repreneur exsangue dont les pertes d’exploitation cumulées deviennent abyssales, un repreneur qui ne produit plus d’images depuis des années, un repreneur qui a installé l’Imagerie au centre de la rubrique « justice » … mais un repreneur qui affiche tout son mépris pour la Ville d’Epinal et ses élus.
Il faut dire que le maire d’Epinal en arrivant avec ses gros sabots, en écartant avec dédain les solutions que nous avons proposées et en annonçant qu’il allait racheter l’Imagerie avec l’argent des contribuables, a développé la pire des stratégies.
A grand renfort de dizaines de milliers d’euros d’honoraires d’avocats, juristes, comptables… et de négociations secrètes, il accumule les revers.
On ne voit pas à quoi cette stratégie va mener les spinaliens. On a bien compris que ses propriétaires actuels ne céderont qu’à un prix totalement déraisonnable eu égard à la situation dans laquelle ils ont mis l’entreprise. Et si le maire veut être raisonnable, il n’aura plus d’autre choix que d’attendre le dépôt de bilan, avec tous les risques que cela engendre.
Cette issue que nous redoutons reste malheureusement une hypothèse plausible qui viendrait couronner la politique inconséquente menée par la municipalité à l’égard de l’Imagerie depuis 2014. »
Le groupe « Epinal Capitale »
[caption id="attachment_75542" align="aligncenter" width="960"] (photo google maps)[/caption]
Nous vous en parlions, les négociations entre la Ville d’Epinal et l’imagerie, n'ont pas pu aboutir. Il y a une semaine, le maire Patrick Nardin a fait un premier bilan de l’avancée du dossier concernant le rachat des actifs de l’imagerie par la municipalité. Suite à ces dernières annonces, le groupe "Epinal Capitale" a souhaité réagir.
"Imagerie d’Epinal : le maire humiliéNouvel épisode dans le feuilleton initié par la mairie d’Epinal il y aura bientôt 8 ans : la gérante de l’Imagerie n’a même pas daigné répondre à la proposition de rachat formulée par le maire.C’est un véritable camouflet pour celui-ci incapable de négocier avec un repreneur mis en place par la Ville grâce à un apport de 450.000 euros du contribuable (Mme Lorimy affirme elle-même « qu’on est venue la chercher »), un repreneur conforté par l’apport de près de 1 million provenant de mécènes privés « parrainés » par l’ancien maire et qui n’ont jamais été remboursés, un repreneur exsangue dont les pertes d’exploitation cumulées deviennent abyssales, un repreneur qui ne produit plus d’images depuis des années, un repreneur qui a installé l’Imagerie au centre de la rubrique « justice » … mais un repreneur qui affiche tout son mépris pour la Ville d’Epinal et ses élus.Il faut dire que le maire d’Epinal en arrivant avec ses gros sabots, en écartant avec dédain les solutions que nous avons proposées et en annonçant qu’il allait racheter l’Imagerie avec l’argent des contribuables, a développé la pire des stratégies.A grand renfort de dizaines de milliers d’euros d’honoraires d’avocats, juristes, comptables… et de négociations secrètes, il accumule les revers.On ne voit pas à quoi cette stratégie va mener les spinaliens. On a bien compris que ses propriétaires actuels ne céderont qu’à un prix totalement déraisonnable eu égard à la situation dans laquelle ils ont mis l’entreprise. Et si le maire veut être raisonnable, il n’aura plus d’autre choix que d’attendre le dépôt de bilan, avec tous les risques que cela engendre.Cette issue que nous redoutons reste malheureusement une hypothèse plausible qui viendrait couronner la politique inconséquente menée par la municipalité à l’égard de l’Imagerie depuis 2014."Le groupe « Epinal Capitale »
Une réaction sur “Imagerie : le groupe « Epinal Capitale » répond au maire”
Françoise
Un dossier qu’il ne revenait pas à la commune d’Epinal de traiter mais a un avocat spécialisé dans ce type d’affaires. Une SEM aurait été une solution car la mairie n’a pas les compétences pour gérer cette entreprise.
Epinal pourrait être le Berlin de la France, le terme « Image d’Epinal » est connu jusqu’à l’étranger. La Maison du Dessin de presse aurait pu y être légitimement installée. Il pousse beaucoup de fonctionnaires à Epinal, zélés pour punir ou appliquer sans réfléchir les règles de tous acabits mais il ne faut pas leur demander ce qu’il faudrait faire pour être à l’affût de nouveauté pour développer l’attractivité d’Epinal.
Un dossier qu’il ne revenait pas à la commune d’Epinal de traiter mais a un avocat spécialisé dans ce type d’affaires. Une SEM aurait été une solution car la mairie n’a pas les compétences pour gérer cette entreprise.
Epinal pourrait être le Berlin de la France, le terme « Image d’Epinal » est connu jusqu’à l’étranger. La Maison du Dessin de presse aurait pu y être légitimement installée. Il pousse beaucoup de fonctionnaires à Epinal, zélés pour punir ou appliquer sans réfléchir les règles de tous acabits mais il ne faut pas leur demander ce qu’il faudrait faire pour être à l’affût de nouveauté pour développer l’attractivité d’Epinal.