Les trois hommes suspectés d’avoir enlevé la petite Mia ce mardi matin dans les Vosges ont été interpellés ce jeudi en région parisienne et placés en garde à vue, d’après le Procureur de la République d’Epinal Nicolas Heitz. La petite fille et sa mère n’ont pas encore été retrouvées. L’enquête se poursuit. Le Procureur donnera une conférence ce vendredi en fin de matinée pour apporter plus d’éléments.
Mardi 13 avril, aux alentours de 11h30, deux hommes sonnaient au domicile de la grand-mère de Mia situé sur le territoire de la commune de Les Poulières, à proximité de Bruyères. Selon les informations données par le procureur de la République Nicolas Heitz, ils se seraient présentés comme des professionnels de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, plus exactement du STEMO (Service Territorial Educatif Milieu Ouvert). Les ravisseurs présumés étaient munis d’un papier à l’entête du Ministère de la Justice, et auraient mis en confiance la grand-mère, en lui donnant d’ailleurs les noms d’éducateurs existant effectivement. Ils auraient expliqué devoir conduire l’enfant à un rendez-vous dans leurs locaux pour que l’enfant rencontre sa mère.
Si l’alerte enlèvement a pris fin trois heures après son déclenchement, l’enquête se poursuit. Toute personne qui disposerait d’informations est appelée à contacter le 0 800 36 32 68 ou le 17.
Les trois hommes suspectés d’avoir enlevé la petite Mia ce mardi matin dans les Vosges ont été interpellés ce jeudi en région parisienne et placés en garde à vue, d’après le Procureur de la République d’Epinal Nicolas Heitz. La petite fille et sa mère n’ont pas encore été retrouvées. L’enquête se poursuit. Le Procureur donnera une conférence ce vendredi en fin de matinée pour apporter plus d’éléments.
Mardi 13 avril, aux alentours de 11h30, deux hommes sonnaient au domicile de la grand-mère de Mia situé sur le territoire de la commune de Les Poulières, à proximité de Bruyères. Selon les informations données par le procureur de la République Nicolas Heitz, ils se seraient présentés comme des professionnels de la Protection Judiciaire de la Jeunesse, plus exactement du STEMO (Service Territorial Educatif Milieu Ouvert). Les ravisseurs présumés étaient munis d’un papier à l’entête du Ministère de la Justice, et auraient mis en confiance la grand-mère, en lui donnant d’ailleurs les noms d’éducateurs existant effectivement. Ils auraient expliqué devoir conduire l’enfant à un rendez-vous dans leurs locaux pour que l’enfant rencontre sa mère.
Si l’alerte enlèvement a pris fin trois heures après son déclenchement, l’enquête se poursuit. Toute personne qui disposerait d’informations est appelée à contacter le 0 800 36 32 68 ou le 17.
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