Ce dimanche soir, peu avant 19 heures, les secours ont été alerté d’une intoxication collective ayant eu lieu rues des pompes à Épinal. Une femme était au téléphone avec ses parents lorsqu’ils ont commencé à se sentir mal.
Les parents, deux personnes relativement âgées, ont été retrouvés inconscients dans leur appartement, situé au troisième étage, avec un fort taux de CO dans le sang. Arrivée sur place, leur fille a elle aussi respiré l’atmosphère très chargée en monoxyde de carbone. 17 sapeurs pompiers se sont engagés sur les lieux, ainsi que des membres de la police et du samu. Les trois personnes intoxiquées ont été évacuée et transportées au centre hospitalier d’Epinal. Les secours ont coupé la chaudière, ventilé et sécurisé la pièce. Des prélèvements ont été réalisés pour évaluer la toxicité de l’air, non seulement dans l’habitation concernée, mais aussi dans deux appartements situés à proximité. Dans le cas de ces deux domiciles, rien d’anormal n’a été constaté. La substance toxique viendrait, en toute hypothèse, de la chaudière de l’appartement.
Ce dimanche soir, peu avant 19 heures, les secours ont été alerté d’une intoxication collective ayant eu lieu rues des pompes à Épinal. Une femme était au téléphone avec ses parents lorsqu’ils ont commencé à se sentir mal.
Les parents, deux personnes relativement âgées, ont été retrouvés inconscients dans leur appartement, situé au troisième étage, avec un fort taux de CO dans le sang. Arrivée sur place, leur fille a elle aussi respiré l’atmosphère très chargée en monoxyde de carbone. 17 sapeurs pompiers se sont engagés sur les lieux, ainsi que des membres de la police et du samu. Les trois personnes intoxiquées ont été évacuée et transportées au centre hospitalier d’Epinal. Les secours ont coupé la chaudière, ventilé et sécurisé la pièce. Des prélèvements ont été réalisés pour évaluer la toxicité de l’air, non seulement dans l’habitation concernée, mais aussi dans deux appartements situés à proximité. Dans le cas de ces deux domiciles, rien d’anormal n’a été constaté. La substance toxique viendrait, en toute hypothèse, de la chaudière de l’appartement.
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