Christine Lorimy, dirigeante de l’Imagerie d’Epinal
On attendait ce mardi après-midi la décision du tribunal de commerce d’Epinal concernant l’Imagerie d’Epinal. Mais le tribunal de commerce a une fois de plus renvoyé le dossier. C’est la cour d’appel de Nancy qui devra examiner le cas de l’Imagerie d’Epinal avant de se prononcer.
Me Sylvie Leuvrey, associée de Me Gérard Welzer
Ce mardi, le tribunal de commerce devait rendre sa décision sur une possible mesure de redressement judiciaire ou de liquidation de l’Imagerie d’Epinal. Mais le tribunal d’Epinal s’est désisté à nouveau. Le procureur de la République d’Epinal qui avait initié la procédure devant le tribunal de commerce d’Epinal a décidé de se désister de la procédure. C’est la cour d’appel de Nancy qui devra trancher. Aucune date n’a été donnée pour l’instant.
Le tribunal de commerce d’Epinal avait été saisi sur requête du procureur de la République. L’audience s’est déroulée en chambre du conseil à huis clos. Christine Lorimy, la dirigeante de l’Imagerie est venue sans son avocate. Elle a été entendue par les juges consulaires.
Des pertes colossales
La société De Buyer Engine avait investi 900 000 euros dans l’Imagerie pour permettre son développement. En 2019, l’industriel vosgien Hervé de Buyer, tire la sonnette d’alarme et décide de porter plainte contre les nouveaux dirigeants de l’Imagerie. Il ne sait pas où sont passés ses 900 000 euros.
Il demande à la justice la nomination d’un administrateur judiciaire. Mais l’industriel vosgien est débouté au mois d’octobre dernier. Au mois de janvier, Hervé de Buyer décide de saisir le tribunal de commerce afin de lancer une procédure de redressement ou de liquidation judiciaire. L’Imagerie d’Epinal accuse des pertes colossales.
Le maire d’Epinal veut mettre en place un EPIC
Le nouveau maire d’Epinal, Patrick Nardin a assuré qu’il souhaitait préserver l’Imagerie d’Epinal et propose de mettre en place un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC).
C.K.N.
[caption id="attachment_176881" align="aligncenter" width="800"] Christine Lorimy, dirigeante de l’Imagerie d’Epinal[/caption]
On attendait ce mardi après-midi la décision du tribunal de commerce d'Epinal concernant l'Imagerie d'Epinal. Mais le tribunal de commerce a une fois de plus renvoyé le dossier. C'est la cour d'appel de Nancy qui devra examiner le cas de l'Imagerie d'Epinal avant de se prononcer.
[caption id="attachment_176882" align="alignright" width="340"] Me Sylvie Leuvrey, associée de Me Gérard Welzer[/caption]
Ce mardi, le tribunal de commerce devait rendre sa décision sur une possible mesure de redressement judiciaire ou de liquidation de l’Imagerie d’Epinal. Mais le tribunal d'Epinal s'est désisté à nouveau. Le procureur de la République d'Epinal qui avait initié la procédure devant le tribunal de commerce d'Epinal a décidé de se désister de la procédure. C'est la cour d'appel de Nancy qui devra trancher. Aucune date n'a été donnée pour l'instant.
Le tribunal de commerce d’Epinal avait été saisi sur requête du procureur de la République. L'audience s'est déroulée en chambre du conseil à huis clos. Christine Lorimy, la dirigeante de l’Imagerie est venue sans son avocate. Elle a été entendue par les juges consulaires.
Des pertes colossales
La société De Buyer Engine avait investi 900 000 euros dans l’Imagerie pour permettre son développement. En 2019, l’industriel vosgien Hervé de Buyer, tire la sonnette d’alarme et décide de porter plainte contre les nouveaux dirigeants de l’Imagerie. Il ne sait pas où sont passés ses 900 000 euros.
Il demande à la justice la nomination d’un administrateur judiciaire. Mais l’industriel vosgien est débouté au mois d’octobre dernier. Au mois de janvier, Hervé de Buyer décide de saisir le tribunal de commerce afin de lancer une procédure de redressement ou de liquidation judiciaire. L’Imagerie d’Epinal accuse des pertes colossales.
Le maire d'Epinal veut mettre en place un EPIC
Le nouveau maire d'Epinal, Patrick Nardin a assuré qu'il souhaitait préserver l'Imagerie d'Epinal et propose de mettre en place un établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC).
C.K.N.
2 réactions sur “L’Imagerie d’Epinal toujours dans l’incertitude”
Lili
900000 euros déjà un grand merci à ce généreux donateur , en espèrant que ça ne restera pas sans suite si c’est avéré douteux pour la gestion de l’imagerie mais à notre époque il faut s’attendre souvent à des surprises .
Il y avait déjà trop de rumeurs pour croire que cette directrice sortie de nul part et ancienne fonctionnaire allait pouvoir faire quelque chose de correcte, elle s’est crue plus maline que les vosgiens. Christine Lorimy n’a qu’à bien se tenir et à chercher du travail ailleurs et pas avec l’argent des autres !
900000 euros déjà un grand merci à ce généreux donateur , en espèrant que ça ne restera pas sans suite si c’est avéré douteux pour la gestion de l’imagerie mais à notre époque il faut s’attendre souvent à des surprises .
Il y avait déjà trop de rumeurs pour croire que cette directrice sortie de nul part et ancienne fonctionnaire allait pouvoir faire quelque chose de correcte, elle s’est crue plus maline que les vosgiens. Christine Lorimy n’a qu’à bien se tenir et à chercher du travail ailleurs et pas avec l’argent des autres !