En février 2018, Vosgelis signait une convention pour l’application de la clause d’insertion sociale dans ses marchés de travaux. Un an plus tard, le nombre d’heures d’insertion a été multiplié par 7, grâce à l’implication des entreprises et des associations.
« Vosgelis c’est 28 000 personnes, 8% de la population dans les Vosges » commente Alain Roussel, le président de Vosgelis. « Vosgelis voulait un dispositif pour les jeunes de moins de 26 ans. Comment amener les jeunes vers l’emploi. » poursuit-il. La clause d’insertion sociale a pour objet de lutter contre le chômage en prévoyant un quota d’heures d’insertion dans les marchés publics. Pour identifier les bénéficiaires potentiels du dispositif, on désigne des « facilitateurs ». Ce sont donc la MSPE (Maison des services publics et de l’emploi) des Pays d’Epinal et de Remiremont et le PETR (Pôle d’équilibre territorial rural) du Pays de la Déodatie qui se sont engagés aux côtés de Vosgelis. Leur rôle : mettre en relation les demandeurs d’emploi susceptibles de travailler sur les chantiers de Vosgelis avec les entreprises titulaires des marchés de travaux.
En une année, Vosgelis a enregistré une hausse spectaculaire des heures d’insertion effectuées sur ses chantiers qui ont été multipliées par 7 et sont ainsi passées de 1.500 à 10.300 par an.
ce vendredi, Christophe Muller, représentant de l’entreprise Bové, accompagné par Monsieur Guilscher, salarié bénéficiaire du dispositif recruté en CDI par la suite étaient présents dans les locaux de Vosgelis à Epinal, ainsi que Osman Duran, représentant de l’entreprise Deobat, accompagné par Kongo Dzifa, salarié bénéficiaire du dispositif.
C.K.N.
Bonjour c est orhan duran de deobat