Pierre ORY, préfet des Vosges, a présidé, ce mercredi 5 décembre 2018 à Epinal, la cérémonie d’hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d’Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, en présence des autorités civiles et militaires, et des représentants des associations patriotiques.
Avant de déposer une gerbe au pied du monument aux morts érigé à la mémoire des Vosgiens morts en Afrique du Nord, M. le Préfet a lu le message de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées, qui indiquait notamment : « Les armes se sont tues depuis 56 ans. Progressivement, l’histoire s’empare de cette période dont la mémoire demeure, aujourd’hui encore, vive et plurielle. »
Cette journée nationale est l’occasion de rappeler que lors des combats en Afrique du Nord, plus de 70 000 militaires français ont été blessés et plus de 25 000 ont trouvé la mort. Parmi ces derniers, 13 000 étaient des appelés ou rappelés… Le tout sans oublier les 400 000 victimes civiles d’origines européenne et nord-africaine ainsi que les 60 000 à 70 000 harkis tués après le cessez-le-feu du 19 mars 1962.
C.K.N.
[caption id="attachment_146794" align="aligncenter" width="960"] (photographies Préfecture des Vosges)[/caption]
Pierre ORY, préfet des Vosges, a présidé, ce mercredi 5 décembre 2018 à Epinal, la cérémonie d'hommage aux Morts pour la France pendant la guerre d'Algérie et les combats du Maroc et de la Tunisie, en présence des autorités civiles et militaires, et des représentants des associations patriotiques.
Avant de déposer une gerbe au pied du monument aux morts érigé à la mémoire des Vosgiens morts en Afrique du Nord, M. le Préfet a lu le message de Geneviève Darrieussecq, secrétaire d’État auprès de la ministre des Armées, qui indiquait notamment : "Les armes se sont tues depuis 56 ans. Progressivement, l'histoire s'empare de cette période dont la mémoire demeure, aujourd'hui encore, vive et plurielle."
Cette journée nationale est l’occasion de rappeler que lors des combats en Afrique du Nord, plus de 70 000 militaires français ont été blessés et plus de 25 000 ont trouvé la mort. Parmi ces derniers, 13 000 étaient des appelés ou rappelés… Le tout sans oublier les 400 000 victimes civiles d’origines européenne et nord-africaine ainsi que les 60 000 à 70 000 harkis tués après le cessez-le-feu du 19 mars 1962.
C.K.N.
[gallery type="thumbnails" link="file" size="medium" ids="146796,146797,146798" orderby="rand"]