La CGT a appelé à une journée de Grève et de manifestation interprofessionnelle jeudi après-midi. Le cortège est parti à 14H45 de la préfecture. 500 participants ont été comptabilisés sous un soleil de plomb. Les syndicats ne démordent pas et ce n’est pas la visite du chef de l’état qui les a rassuré.
Yavuz Ozbek, secrétaire CE Cheminots Lorraine; « On ne lâche rien, au contraire, on est remonté comme jamais. il y a eu un rassemblement régional a Saint-Dié. On a demandé à rencontrer Emmanuel Macron mais c’est le directeur de cabinet qui nous a reçu. l’Échange A été constructif. le projet Ensemble pour le faire, avance. On va pousser le débat public concernant les enjeux économiques du territoire. J’espère que les pouvoirs publics prennent la mesure des conséquences potentielles sur les lignes menacées comme Epinal-St Dié. Il y aura forcément des répercutions sur l’emploi et des risques de désert médicaux sans transport régulier de la population. »
Delphine Roussel déléguée CGT; « Il y a une convergence des chenminaux de la SNCF, des retraités, des enseignants, des EPAHD et boites du privé comme Nestlé Waters. Les salariés de la métallurgie et la santé se sont également mobilisés. il y a des inquiétudes grandissantes sur la précarisation des emplois. On observe une concurrence entre salariés et retraités . Il faut poursuivre la lutte dans les entreprises car onconstate quil n’y a pas assez de relais en interne. On peut regretter l’affluence du jour 500 personnes. on souhaite un rapport de force accru. Concernant la visite d’Emmanuel Macron ? On n’a pas eu d’audience avec le président qu’on a tenté d’alerter. Ses annonces ne nous rassurent pas pour l’avenir et les jeunes qui arrivent sur le marché de l’emploi... ».
J’ai vu une revendication sur une banderole CGT pour la semaine de 32 heures.
C’est encore trop.
ll faut exiger la semaine de 6 heures payée 50.
Non mais.