La cour d’assises des Vosges va devoir se pencher sur un viol commis sur une personne vulnérable. Les faits ont eu lieu sur une femme atteinte de trisomie 21 en pleine rue à Vittel.
Le 8 juillet 2015, la police municipale de Vittel est prévenue d’une suspicion d’attouchements sexuels sur une femme, atteinte de trisomie 21. Trois témoins de la scène ont été entendus. Ils ont décrit l’homme qui touchait la victime sur tout le corps et selon eux, celle-ci ne semblait pas consentante.
Le lendemain, l’accusé a été à nouveau surpris en pleine rue à Vittel en plein rapport sexuel avec la victime. Interrogée, elle dit qu’il l’avait embrassé sans son accord avant d’avoir un rapport sexuel, mais qu’elle n’en avait parlé à personne, « de peur d’être grondée par sa mère ». Elle affirme lui avoir dit d’arrêter de la toucher.
L’homme, déjà connu de la justice, a été mis en examen pour viol commis sur personne vulnérable. Le 21 septembre 2009, il avait déjà été condamné pour des actes identiques. Il a été placé en détention provisoire. Il affirme avoir une relation depuis près d’un an avec la femme et assure que celle-ci était consentante.
La victime, atteinte de trisomie 21 est dépeinte comme une personne facilement influençable et vulnérable. Face aux experts, elle décrit avec ses mots les faits.
L’homme est quant à lui décrit comme infidèle, possessif, mais non violent. Il risque une peine de réclusion criminelle à perpétuité.
La cour d’assises des Vosges va devoir se pencher sur un viol commis sur une personne vulnérable. Les faits ont eu lieu sur une femme atteinte de trisomie 21 en pleine rue à Vittel.
Le 8 juillet 2015, la police municipale de Vittel est prévenue d’une suspicion d’attouchements sexuels sur une femme, atteinte de trisomie 21. Trois témoins de la scène ont été entendus. Ils ont décrit l’homme qui touchait la victime sur tout le corps et selon eux, celle-ci ne semblait pas consentante.
Le lendemain, l’accusé a été à nouveau surpris en pleine rue à Vittel en plein rapport sexuel avec la victime. Interrogée, elle dit qu’il l’avait embrassé sans son accord avant d’avoir un rapport sexuel, mais qu’elle n’en avait parlé à personne, "de peur d’être grondée par sa mère". Elle affirme lui avoir dit d’arrêter de la toucher.
L’homme, déjà connu de la justice, a été mis en examen pour viol commis sur personne vulnérable. Le 21 septembre 2009, il avait déjà été condamné pour des actes identiques. Il a été placé en détention provisoire. Il affirme avoir une relation depuis près d’un an avec la femme et assure que celle-ci était consentante.
La victime, atteinte de trisomie 21 est dépeinte comme une personne facilement influençable et vulnérable. Face aux experts, elle décrit avec ses mots les faits.
L’homme est quant à lui décrit comme infidèle, possessif, mais non violent. Il risque une peine de réclusion criminelle à perpétuité.
C.K.N.