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mercredi 6 déc 2023
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Un rassemblement à Epinal pour soutenir les migrants

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(photographie d'archives)

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Ce vendredi soir, un rendez-vous de la fratérnité était programmé devant la gare d’Epinal et la mairie de Saint-Dié pour soutenir les migrants.

« Comment admettre qu’un mineur isolé dont la loi prévoit, à sa majorité, la signature d’un « contrat jeune majeur » avec délivrance d’une carte de séjour temporaire, se voie refuser par le préfet une autorisation de travail alors qu’il a réussi en juin un CAP électricité ? » commente Jean-Louis Didelot du Collectif des Sans papiers.

« Il a trouvé un employeur pour un bac pro en alternance sur 2 ans, mais le contrat établi en juin, déposé à la Direccte avec les tonnes de renseignements successivement demandés, n’est toujours pas validé au 15 septembre ! » poursuit-il. « L’employeur s’est vu quant à lui sommé de se séparer du jeune sous la menace d’une amende de 45.000 euros !!!!! Situation ubuesque qui conduit au désespoir ! »

« Un peu d’humanité s’il vous plaît envers ces personnes et ces familles ayant tout quitté pour chercher dans notre pays accueil et protection. » conclu-t-il.

C.K.N.

[caption id="attachment_120993" align="aligncenter" width="735"](photographie d'archives) (photographie d'archives)[/caption]

Ce vendredi soir, un rendez-vous de la fratérnité était programmé devant la gare d’Epinal et la mairie de Saint-Dié pour soutenir les migrants.

"Comment admettre qu'un mineur isolé dont la loi prévoit, à sa majorité, la signature d'un "contrat jeune majeur" avec délivrance d'une carte de séjour temporaire, se voie refuser par le préfet une autorisation de travail alors qu'il a réussi en juin un CAP électricité ?" commente Jean-Louis Didelot du Collectif des Sans papiers. « Il a trouvé un employeur pour un bac pro en alternance sur 2 ans, mais le contrat établi en juin, déposé à la Direccte avec les tonnes de renseignements successivement demandés, n'est toujours pas validé au 15 septembre ! » poursuit-il. "L'employeur s’est vu quant à lui sommé de se séparer du jeune sous la menace d'une amende de 45.000 euros !!!!! Situation ubuesque qui conduit au désespoir !" "Un peu d’humanité s’il vous plaît envers ces personnes et ces familles ayant tout quitté pour chercher dans notre pays accueil et protection." conclu-t-il. C.K.N.



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