Monseigneur Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et Toul, vient d’adresser une lettre aux prêtres de son diocèse. Il y révèle que l’un d’entre eux s’est livré à des agressions sexuelles durant les années 70 dans le cadre d’un camp de jeunes.
Deux victimes ont dénoncé les faits, respectivement en 2010 et en 2016. L’évêque les a rencontrées ainsi que le prêtre qui a reconnu les faits. Des faits prescrits par la loi.
« Cette conclusion est difficile à accepter pour des victimes de tels faits, tant les conséquences sont destructrices pour elles et pour leurs proches. La souffrance ne peut pas être prescrite » écrit Monseigneur Papin. Les procédures ecclésiastiques et civiles étant terminées, l’évêque a décidé de demander au prêtre, qu’il cite nommément, « de ne plus exercer aucun ministère public ».
Né à Metz le 11 novembre 1927, celui-ci a été ordonné prêtre en 1957. Soixante ans plus tard, il est donc suspendu de ses fonctions.
La lettre de l’évêque de Nancy-Toul est à lire en cliquant ici.
Monseigneur Jean-Louis Papin, évêque de Nancy et Toul, vient d’adresser une lettre aux prêtres de son diocèse. Il y révèle que l’un d’entre eux s’est livré à des agressions sexuelles durant les années 70 dans le cadre d’un camp de jeunes.
Deux victimes ont dénoncé les faits, respectivement en 2010 et en 2016. L’évêque les a rencontrées ainsi que le prêtre qui a reconnu les faits. Des faits prescrits par la loi.
« Cette conclusion est difficile à accepter pour des victimes de tels faits, tant les conséquences sont destructrices pour elles et pour leurs proches. La souffrance ne peut pas être prescrite » écrit Monseigneur Papin. Les procédures ecclésiastiques et civiles étant terminées, l’évêque a décidé de demander au prêtre, qu’il cite nommément, « de ne plus exercer aucun ministère public ».
Né à Metz le 11 novembre 1927, celui-ci a été ordonné prêtre en 1957. Soixante ans plus tard, il est donc suspendu de ses fonctions.
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Sacré pépin ça!
Bah, 3 pater et deux avé ….