Avec trois candidatures déposées en préfecture, on se dirige vers une triangulaire au 1er tour des élections départementales du canton de Gérardmer le 2 octobre prochain. Mais peut-être également vers une seconde triangulaire une semaine plus tard avec la présence des binômes Gilbert Poirot/Jacqueline Valentin (divers gauche), Franck Lemaire/Élisabeth Klipfel (LR) et Dominique Thomas/Lydie Mathis (FN).
Sauf élection au premier tour avec 51% des voix des inscrits, ce qui est quasiment improbable, pour figurer au second tour il faudra que les candidats enregistrent 12,5% de voix, toujours des inscrits : chose qui est cette fois tout à fait possible.
Ainsi, sauf désistement d’un binôme au profit d’un autre (rien n’est garanti), on pourrait assister à l’émergence du Front National, celui ayant réalisé lors de la dernière élection 36,18 % des voix sur le canton aujourd’hui agrandi à 17 communes pour 26 000 habitants. La question de fond se pose forcément déjà dans les états majors politiques, même si le taux d’abstention va peser lourd dans la balance
Avec trois candidatures déposées en préfecture, on se dirige vers une triangulaire au 1er tour des élections départementales du canton de Gérardmer le 2 octobre prochain. Mais peut-être également vers une seconde triangulaire une semaine plus tard avec la présence des binômes Gilbert Poirot/Jacqueline Valentin (divers gauche), Franck Lemaire/Élisabeth Klipfel (LR) et Dominique Thomas/Lydie Mathis (FN).
Sauf élection au premier tour avec 51% des voix des inscrits, ce qui est quasiment improbable, pour figurer au second tour il faudra que les candidats enregistrent 12,5% de voix, toujours des inscrits : chose qui est cette fois tout à fait possible.
Ainsi, sauf désistement d’un binôme au profit d’un autre (rien n’est garanti), on pourrait assister à l’émergence du Front National, celui ayant réalisé lors de la dernière élection 36,18 % des voix sur le canton aujourd’hui agrandi à 17 communes pour 26 000 habitants. La question de fond se pose forcément déjà dans les états majors politiques, même si le taux d’abstention va peser lourd dans la balance