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dimanche 10 déc 2023
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Vosges – Course poursuite à 250km/h avec les gendarmes : le chef d’entreprise condamné à 3 mois de prison avec sursis et 8.000 €uros d’amende

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Documents remis.

Documents remis.

Début mars 2015, l’affaire avait fait grand bruit dans le Gard où nos confrères de France 3 lui avaient consacré un reportage ici. Tous les médias de la région l’avaient également relatée.

Lundi 2 mars 2015, ce chef d’entreprise vosgien de 61 ans (60 ans à l’époque des faits) avait d’abord été contrôlé à 170 km/h au volant de sa Mercedes classe S 350 sur l’autoroute A9 vers 22 heures 00 sur la commune de Gallargues-le-Montueux dans le Gard. Il avait ensuite tenté d’échapper à l’interception des gendarmes et accéléré brusquement pour engager une course-poursuite avec l’équipage de la Brigade rapide d’intervention (BRI) pendant 40 kilomètres sur l’A9, depuis l’Est de Montpellier dans le Gard, jusqu’à Fabrègues, dans l’Hérault où il avait atteint la vitesse hallucinante de 250 km/h.

Interpellé à Fabrègues, et placé en garde à vue dans le Gard par les gendarmes, il aurait pris la fuite de crainte de perdre trois points sur son permis. Rouler à 120 km/h au dessus de la vitesse autorisée et même 160 en zone de travaux a sérieusement aggravé son cas. Dépistages d’alcoolémie et de stupéfiants s’étaient révélés négatifs.

Remis en liberté, ce chef d’entreprise avait écopé d’une suspension de six mois par le préfet de l’Hérault, d’une convocation devant le tribunal pour répondre des faits de refus d’obtempérer aggravé par la mise en danger de la vie d’autrui, excès de vitesse de plus de 50 km/h, dépassement par la droite. A la demande du parquet de Nîmes, sa Mercedes d’une valeur de 110 000 € avait été placée en fourrière jusqu’à sa comparution devant le tribunal.

Des faits pour lesquels Jean-Luc Mauffrey vient d’être condamné par la chambre correctionnelle du tribunal de Nîmes le 7 septembre 2015. Il a écopé d’une peine de trois mois d’emprisonnement avec sursis, de 8.000 euros d’amende et de six mois de suspension de permis de conduire.

Lire également les articles :

  • de France Bleu Gard Lozère ici.
  • de La Provence ici.
  • du Midi Libre ici.
  • d’Objectif Gard ici.

 

D.J.

[caption id="attachment_67137" align="alignleft" width="633"]Documents remis. Documents remis.[/caption] Début mars 2015, l’affaire avait fait grand bruit dans le Gard où nos confrères de France 3 lui avaient consacré un reportage ici. Tous les médias de la région l’avaient également relatée. Lundi 2 mars 2015, ce chef d’entreprise vosgien de 61 ans (60 ans à l’époque des faits) avait d’abord été contrôlé à 170 km/h au volant de sa Mercedes classe S 350 sur l’autoroute A9 vers 22 heures 00 sur la commune de Gallargues-le-Montueux dans le Gard. Il avait ensuite tenté d’échapper à l’interception des gendarmes et accéléré brusquement pour engager une course-poursuite avec l’équipage de la Brigade rapide d’intervention (BRI) pendant 40 kilomètres sur l’A9, depuis l’Est de Montpellier dans le Gard, jusqu’à Fabrègues, dans l’Hérault où il avait atteint la vitesse hallucinante de 250 km/h. Interpellé à Fabrègues, et placé en garde à vue dans le Gard par les gendarmes, il aurait pris la fuite de crainte de perdre trois points sur son permis. Rouler à 120 km/h au dessus de la vitesse autorisée et même 160 en zone de travaux a sérieusement aggravé son cas. Dépistages d’alcoolémie et de stupéfiants s’étaient révélés négatifs. Remis en liberté, ce chef d’entreprise avait écopé d’une suspension de six mois par le préfet de l’Hérault, d’une convocation devant le tribunal pour répondre des faits de refus d’obtempérer aggravé par la mise en danger de la vie d’autrui, excès de vitesse de plus de 50 km/h, dépassement par la droite. A la demande du parquet de Nîmes, sa Mercedes d’une valeur de 110 000 € avait été placée en fourrière jusqu’à sa comparution devant le tribunal. Des faits pour lesquels Jean-Luc Mauffrey vient d’être condamné par la chambre correctionnelle du tribunal de Nîmes le 7 septembre 2015. Il a écopé d’une peine de trois mois d’emprisonnement avec sursis, de 8.000 euros d’amende et de six mois de suspension de permis de conduire. Lire également les articles :
  • de France Bleu Gard Lozère ici.
  • de La Provence ici.
  • du Midi Libre ici.
  • d’Objectif Gard ici.
  D.J.



5 réactions sur “Vosges – Course poursuite à 250km/h avec les gendarmes : le chef d’entreprise condamné à 3 mois de prison avec sursis et 8.000 €uros d’amende

    1. zuti88

      Pourquoi aux enfants orphelins de la gendarmerie?? Heu la expliqué moi ?? Ha oui les enfants de gendarmes sont plus malheureux que les autres !! Pfff n’importe quoi !

      répondre
  1. onana onana martin Stanislas

    Hum policier ou gendarmes sont tous de même ils ne peuvent pas comprendre qu’il y a des impératifs qui nous font ne plus respecter le code de la route il faut de fois faire comme lui

    répondre
    1. lola

      Vous racontez n’importe quoi ! Parce que vous êtes chef d’entreprise vous êtes au dessus des lois ?!
      Donc un chef d’entreprise peut aussi cogner sa femme parce qu’il est énervé parfois avec ses responsabilités et ses enfants etc…
      Avec vos raisonnement à 2 balles on n’arrive à la chienlit.
      Si vous n’êtes pas capable d’assumer votre travail en respectant les lois faites autre chose…

      répondre
  2. à bobo la tête.

    En Suisse ou en Finlande, notre ami Jean Luc s’en serait moins bien tiré que ça..

    « Payer une infraction plus chère parce que l’on est riche : le principe ne semble pas choquer nos voisins finlandais et suisses, qui ont adopté depuis plusieurs années déjà un mode de calcul proportionnel aux revenus pour le montant des amendes.

    Cela donne lieu à de véritables records, tous pour des excès de vitesse : 207 6000 euros pour un automobiliste suisse au volant de sa Testarossa, 170 000 euros pour un millionnaire finlandais ayant dépassé de 40 km la limite – contre 360 euros pour un chauffeur de taxi flashé à 104 km au-dessus du seuil !

    Plus récemment, c’est encore un nordique, Reima Kuisla, qui s’est illustré en réglant une amende de 54 024 euros pour 25 km de trop (ses revenus s’élevant à plus de 6,5 millions d’euros en 2013). Une infraction routière qui coûterait 135 euros et 2 points de permis en France, pour tous les conducteurs. »

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