On connait tous l’expression « se tirer une balle dans le pied » qui signifie agir à l’encontre de son propre intérêt. Hé bien, ce dimanche 4 janvier, il est un chasseur qui l’a, malheureusement pour lui, parfaitement illustrée et pas seulement au sens figuré.
Alors qu’il prenait part à une partie de chasse à Moussey, près de Senones, le jusqu’alors bienheureux homme a glissé en voulant s’asseoir sur son tabouret et, alors qu’il tentait de reprendre son équilibre, un coup est accidentellement parti.
Pas de bol pour le malheureux, mais une balle pour son coup de pied.
Il a été évacué au centre hospitalier Saint-Charles de Saint-Dié par les sapeurs-pompiers et les constatations et enquête d’usage ont été ouvertes par la communauté de brigades de Senones.
Cette triste anecdote, n’est pas sans rappeler les soldats qui eux se tiraient volontairement une balle dans le pied pour être évacués du front. Le choix du pied était « stratégique ». Cette partie du corps est la plus éloignée du cœur, cela n’occasionnait donc pas de risque sanitaire majeur mais handicapait suffisamment pour justifier le rapatriement pour blessure de guerre.
Sur ce coup (de fusil) là, on sait que ce chasseur n’ a pas su s’asseoir sur son séant, que soudain glissant de son siège le malchanceux a chu et… tiré « comme un pied ».
Quant au fait de savoir si ce chasseur était un bon chasseur sachant chasser même sans son chien? Cela on ne le sait.
Vla / Épinal Infos
On connait tous l'expression "se tirer une balle dans le pied" qui signifie agir à l’encontre de son propre intérêt. Hé bien, ce dimanche 4 janvier, il est un chasseur qui l'a, malheureusement pour lui, parfaitement illustrée et pas seulement au sens figuré.
Alors qu'il prenait part à une partie de chasse à Moussey, près de Senones, le jusqu'alors bienheureux homme a glissé en voulant s'asseoir sur son tabouret et, alors qu'il tentait de reprendre son équilibre, un coup est accidentellement parti.
Pas de bol pour le malheureux, mais une balle pour son coup de pied.
Il a été évacué au centre hospitalier Saint-Charles de Saint-Dié par les sapeurs-pompiers et les constatations et enquête d’usage ont été ouvertes par la communauté de brigades de Senones.
Cette triste anecdote, n'est pas sans rappeler les soldats qui eux se tiraient volontairement une balle dans le pied pour être évacués du front. Le choix du pied était "stratégique". Cette partie du corps est la plus éloignée du cœur, cela n'occasionnait donc pas de risque sanitaire majeur mais handicapait suffisamment pour justifier le rapatriement pour blessure de guerre.
Sur ce coup (de fusil) là, on sait que ce chasseur n' a pas su s'asseoir sur son séant, que soudain glissant de son siège le malchanceux a chu et... tiré "comme un pied".
Quant au fait de savoir si ce chasseur était un bon chasseur sachant chasser même sans son chien? Cela on ne le sait.
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