C’est patiemment et prudemment que depuis 16 ans Charly Couture, entreprise de confection de linge de maison, sellerie et produits techniques, installée 212 rue Général de Gaulle à Chantraine, vit sa petite aventure.
A la veille de vacances, la quinzaine de salariées et la responsable du site Alexandra Faivre nous ont accueillis la semaine passée, à l’occasion de la visite du secrétaire général de la Préfecture Eric Requet.
Alexandra Faivre
Au centre des conversations, le Pacte de Responsabilité et de Solidarité appliqué ici. Pour rappel, ce pacte propose entre autres avantages de baisser le coût du travail pour les entreprises (ex :0 charge pour l’employeur d’un salarié touchant le Smic) et d’augmenter le salaire net pour plus d’1 salarié sur 3 qui touchent moins de 1500 euros par mois.
Mais le propos, c’était également le devenir de l’entreprise : « je suis confiante »confie Alexandra Faivre avant de poursuivre : « l’emploi va revenir en France ». Et le marché au moins se maintenir, voire progresser.
Pour autant l’entreprise restera fidèle à sa politique de prudence. Il s’agira déjà de « digérer » un probable gros investissement : la construction d’un bâtiment de stockage et de logistique d’un coût estimé à 350 000 euros.
[caption id="attachment_40795" align="alignleft" width="300"] En visite à Chantraine[/caption]
C’est patiemment et prudemment que depuis 16 ans Charly Couture, entreprise de confection de linge de maison, sellerie et produits techniques, installée 212 rue Général de Gaulle à Chantraine, vit sa petite aventure.
A la veille de vacances, la quinzaine de salariées et la responsable du site Alexandra Faivre nous ont accueillis la semaine passée, à l’occasion de la visite du secrétaire général de la Préfecture Eric Requet.
[caption id="attachment_40789" align="alignright" width="150"] Alexandra Faivre[/caption]
Au centre des conversations, le Pacte de Responsabilité et de Solidarité appliqué ici. Pour rappel, ce pacte propose entre autres avantages de baisser le coût du travail pour les entreprises (ex :0 charge pour l’employeur d’un salarié touchant le Smic) et d’augmenter le salaire net pour plus d’1 salarié sur 3 qui touchent moins de 1500 euros par mois.
Mais le propos, c’était également le devenir de l’entreprise : « je suis confiante »confie Alexandra Faivre avant de poursuivre : « l’emploi va revenir en France ». Et le marché au moins se maintenir, voire progresser.
Pour autant l’entreprise restera fidèle à sa politique de prudence. Il s’agira déjà de « digérer » un probable gros investissement : la construction d’un bâtiment de stockage et de logistique d’un coût estimé à 350 000 euros.
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